Comment savoir si les ateliers Lactanet sont pour moi?

« En participant à l’atelier durable et rentable, on s’est aperçu que certaines données que nous compilions n’étaient pas exactes donc depuis, on a rectifié le tir afin de pouvoir faire une meilleure analyse de nos performances. Karen Bergeron nous a aussi données pleins de trucs pour garder nos animaux en santé plus longtemps et donc, avoir plus d’argent dans nos poches parce qu’après tout, c’est en gardant les vaches longtemps dans le troupeau qu’elles deviennent payantes. On va également utiliser des trucs et astuces du cahier du participant lors de notre réflexion pour l’adaptation de la ferme en stabulation libre. Ce sont tous les petits détails qui font la différence. Nous avons aussi beaucoup apprécié l’atelier test de gras parce qu’on a pu discuter avec d’autres producteurs Ayrshire et discuter de bonnes pratiques selon notre alimentation pour optimiser nos performances. Je crois que ces deux ateliers allaient bien ensemble : pour avoir un bon test de gras et être rentable, il faut avoir des animaux qui restent longtemps dans le troupeau. »

« Nous nous sommes inscrits à l’atelier fourrages, car nous avions besoin de conseils non-liés sur l’alimentation et la gestion des champs. Nous avons appris plusieurs nouvelles connaissances que nous pourrons mettre en place sur notre entreprise. Par exemple, il est important d’avoir une technique plus précise pour mieux évaluer le volume de fourrages récolté et ce, pour tous les types de récoltes que l’on pourrait avoir (ex. balles rondes, ag-bag pour le foin ou le maïs ensilage). Connaître son rendement fourrager est très important! D’autres aspects de l’atelier que nous avons appréciés sont des trucs pour s’adapter aux conditions climatiques comme choisir les espèces et le nombre de variétés à semer ou l’option de toujours laisser un couvert végétal. En résumé, nous avons bien aimé prendre part aux discussions avec les autres producteurs et nos formateurs, Annick Desjardins et Jean-Philippe Laroche. »

« L'atelier de Catherine Cross, qui s'est déroulé avec les producteurs du Québec, m’a montré une pensée différente. Elle a indiqué qu'il y avait peut-être des troupeaux qui dépensaient trop du point de vue de l’alimentation et que, même s'ils obtenaient plus de lait par vache, ils n'étaient peut-être pas aussi efficaces sur le plan de la marge alimentaire. C'était un point de vue complètement différent de celui dont j’ai l’habitude d’entendre. »